LE PANTHEON

Monument National à la Mémoire des Hommes Illustres

Sur la montagne Sainte-Geneviève, dans le 5^e arrondissement de Paris, au cœur du quartier latin.

La rue Soufflot lui dessine une perspective à partir du jardin du Luxembourg.

Jacques-Germain Soufflot, lorsqu’il érigea cet édifice qui est un véritable manifeste du style néo-classique, répondit au vœu de Louis XV de glorifier dignement la monarchie en la personne de Sainte Geneviève, patronne de Paris, à laquelle fut dédié le monument. Laïcisé en 1791, il devint Panthéon national. Durant le 19^ème siècle, il reçut, au gré des régimes politiques, une affectation tantôt religieuse, tantôt patriotique. La Troisième République en fit un édifice consacré à la mémoire des hommes illustres à l’occasion des funérailles nationales de Victor Hugo qui y fut inhumé en 1885.

Ses différentes destinations successives, sa décoration, les inscriptions et les symboles qui y figurent, permettent de parcourir la construction — lente et contrastée — de la nation française.

Le Panthéon est un bâtiment long de 110 mètres et large de 84 mètres. La façade principale est décorée d’un portique aux colonnes corinthiennes, surmonté d’un fronton triangulaire. Il représente la République, au centre, donnant la Liberté et protégeant à sa gauche les Sciences, représentées par de nombreux grands savants, philosophes, écrivains et artistes - et à sa droite l'Histoire, représentée par des grands personnages de l'État. L'édifice, en forme de croix grecque, est couronné par un dôme haut de 83 mètres, coiffé d’un lanterneau. L’intérieur est décoré par des peintres académiques.

Le projet architectural de Jacques-Germain Soufflot est une église à dôme, en forme de croix grecque, c'est-à-dire avec quatre branches courtes, égales en longueur et en largeur. Pour le réaliser, il emprunte à différents styles architecturaux, ce qui fera écrire à Maximilien Brébion : « Le principal objet de M. Soufflot, en bâtissant son église, a été de réunir, sous une des plus belles formes, la légèreté de la construction des édifices gothiques avec la magnificence de l'architecture grecque. ». Un élément essentiel de la construction reste invisible aux yeux du visiteur : la triple coupole. Alors que l'on pourrait penser qu'une seule coupole soutient le lanterneau et la croix à son sommet, en réalité, trois coupoles sont emboîtées les unes dans les autres. La crypte couvre toute la surface de l'édifice, elle est constituée de quatre galeries, chacune sous chacun des bras de la nef. Cependant, elle n'est pas véritablement enterrée comme une cave puisque des fenêtres, en haut de chaque galerie, sont ouvertes sur l'extérieur. On pénètre dans la crypte par une salle décorée de colonnes doriques. En avançant, on découvre ensuite, au centre du bâtiment, la vaste salle voûtée de forme circulaire et la petite pièce centrale, située juste au centre du dôme. On peut s'interroger sur les dimensions de la crypte qui paraît incroyablement vaste. Les 73 hôtes actuels ne sont pas à l'étroit puisque la capacité totale d'accueil est d'environ 300 places. Une des hypothèses émises pour expliquer cela serait que Louis XV voulait en faire un mausolée pour les Bourbon.

On recense 76 personnalités dont le gouvernement au pouvoir a décidé la "panthéonisation". Plusieurs d'entre eux, après avoir été admis en ont ensuite été retirés. Aujourd'hui la France honore donc 65 des siens par des tombes ou urnes funéraires. Il faut ajouter trois tombes placées ici pour des raisons particulières : l’architecte, un père et une épouse. 

Lien Wikipédia - Le Panthéon 

Lien Parisrama - Le Panthéon

Lien vers l'affiche de la Soirée Portugaise  

Patrick Péralta

Patrick Péralta, un des artistes qui s'impose dans les cabarets parisiens. C'est un habitué des lieux prestigieux comme les « Don Camillo », « César Palace », « L'Abbé Constantin », … Il s'est aussi produit dans de nombreuses émissions télévisées telles que le « Théâtre de Bouvard » ou « La Classe ». Patrick Péralta est un excellent imitateur mais aussi un comédien hors pair qui a créé plusieurs personnages délirants. Une voix exceptionnelle ainsi qu’une présence physique surprenante. Par ses imitations et ses sketches chantés et parlés, il nous emmène dans un délire comique incontestable. « Il a surpassé le stade ou l'imitation se contente d'être une parodie. Il modèle le personnage à grands traits puis le surpasse et le fait éclater dans une vérité plus vraisemblable que la réalité. » dit de lui Jean Amadou.

« Quel drôle de bonhomme, tant dans la vie où il a toujours le bon mot pour rire, que sur la scène où il fait se tordre les publics les plus sévères. Ce type ne cesse de m’étonner et de me ravir … Il sait tout faire et tout bien faire. Chanter, raconter, jouer, imiter, amuser encore et toujours, mille voix dans la gorge, justes, précises, mille soleils dans le cœur qui vous chauffent les zygomatiques. Exceptionnels sous tous rapports, l'homme et son talent valent le détour. » Bernard MABILLE

Lien vers le site de Patrick Péralta 

30/04/2009

RESULTATS TOMBOLA : 29 LOTS GAGNES !

Grâce à la générosité d’un des prestataires « Sorties Pour Tous », il y a eu, non pas un, mais deux 1ers lots.

Les lots ont principalement été gagnés par les adhérents des deux associations réunies. Ceux de « Sorties Pour Tous » ont eu plus de chance sur les lots secondaires que sur les lots principaux, sauf une qui a gagné l’un des deux 1ers lots.

Les gagnants des lots principaux sont :

* 1^er lot : dîner-spectacle pour 2 personnes au Cabaret Transformiste « Artishow »

= gagné par M. Josépha (ACDPM)

Lien vers le site du Cabaret "Artishow"
 

* 1^er lot bis : dîner-spectacle pour 2 personnes au Cabaret Russe « Nikita »

= gagné par Mme Stievenart (SPT)

Lien vers le site du Cabaret Russe "Nikita"
 

* 2^ème lot : soirée Fado pour 2 personnes au Restaurant « O 5 Estrelas » à Sartrouville

= gagné par M. Frionit (ACDPM)

* 3^ème lot : soirée Fado pour 2 personnes au Restaurant « Les Jardins de Montesson » à Montesson

= gagné par Mme Fleury (extérieure)

* 4^ème lot : repas portugais pour 2 personnes au Restaurant « Lusitanos » à Chatou

= gagné par M. Péreira 1 (ACDPM)

* 5^ème lot : repas portugais pour 2 personnes au Restaurant « Le Petit Champignon » de Carrières-sur-Seine

= gagné par M. Péreira 2 (ACDPM)

« Sorties Pour Tous » remercie :

- la société « Actions Loisirs » qui lui a offert les 2 premiers lots et les « Sorties en Individuel »,

- la Pharmacie des Rabaux à Montesson, qui lui a offert les lots « Hygiène & Beauté » et les lots « Enfants »,

- le restaurant « Le Perroquet » de Montesson qui a mis sa cuisine à disposition pour la préparation des plats,

- les bénévoles de l’association « ACDPM » qui ont œuvré à l'organisation et au déroulement de la Soirée, notamment en cuisine et au service.

Empruntant le trajet d'une ancienne voie ferrée,

de la Place de la Bastille au Bois de Vincennes,

elle traverse tout le 12^ème arrondissement.

Cette promenade originale qui s'étend de la Bastille au bois de Vincennes, vous transporte tantôt dans les airs tantôt sous terre. Sa conception unique vous fera passer de viaduc en passerelle, de tunnel en tranchée, à travers l'Est de Paris. Conçue par deux architectes, un parcours insolite !

Elle a été créée en 1988 par Philippe Mathieux et Jacques Vergely, à l'emplacement de l'ancienne ligne de chemin de fer qui reliait depuis 1859 la place de la Bastille à la Varenne-Saint-Maur. Désaffectée en 1969, elle a laissé la place à une succession de jardins disséminés sur quelques kilomètres : Hector Malot, Reuilly, gare de Reuilly, Charles-Peguy. Avenue Daumesnil, vous pourrez presque toucher les frondaisons des arbres, suspendus à plusieurs mètres du sol.

Vous découvrirez ainsi des éléments d'architecture de certains immeubles parfois surprenants, invisibles d'en bas. Les concepteurs ont réussi à allier la végétation sauvage, qui avait envahi autrefois les abords de la ligne de chemin de fer, à un aménagement paysager plus moderne. On peut ainsi évoluer au milieu des liserons des champs et des pavots sauvages, alors qu'un flot ininterrompu de voitures circule quelques mètres plus bas. Toutes les anciennes structures ferroviaires ont été conservées.

En 1989, la Ville de Paris a entrepris une vaste opération de réhabilitation des 71 arcades du viaduc, situées sous la Promenade Plantée. Le Viaduc des Arts est destiné aux artisans parisiens qui ont l'obligation d'effectuer sur place la majeure partie de leur travail. Certains ont installé leurs ateliers en vitrine, ce qui permet d'assister en direct à la naissance de leurs créations.

Une coulée douce et verte pour prendre de la hauteur !

Lien 1 vers le site de la Promenade Plantée 

Lien 2 vers le site de la Promenade Plantée

 
Découvrez CHARTRES !

A l'approche de la ville, la silhouette élégante de la cathédrale de Chartres émergeant des champs de blé offre des panoramas saisissants ! Patrimoine mondial de l’UNESCO, la cathédrale est un joyau des arts médiévaux. Ville chargée d’histoire, capitale internationale du vitrail, Chartres invite à la flânerie au gré de ses 60 hectares de quartiers médiévaux ponctués ruelles et rues pavées, d’escaliers, de maisons à colombages, de lieux de charme, de musées, d’expos sympas, de terrasses ensoleillées et de concerts à ciels ouverts.

La  cathédrale de Chartres s’illumine de plus de 170 vitraux qui représentent 2 600 m² de verrières ... Dès le Moyen Age, les maîtres verriers travaillent à ces chef-d’œuvres qui constituent aujourd’hui la collection la plus riche et la mieux préservée d’Europe de vitraux des 12ème et 13ème siècles. Le mythique « Bleu de Chartres » est admirable. Les ateliers de maîtres verriers installés  à Chartres perpétuent les méthodes de travail traditionnelles (verre et plomb) et incarnent le renouveau de cet art à travers de nouvelles techniques (fusing, thermoformage, …).
 

Chartres, les quartiers historiques. 60 hectares de quartiers historiques sauvegardés. Avec un abord à la cathédrale parmi les plus beaux au monde, Chartres est riche d’un patrimoine et d’un savoir-faire exceptionnels qui lui valent une réputation internationale. La vieille ville regorge de trésors, de curiosités, … et de petites places sympas à découvrir. Depuis la ville haute perchée sur son éperon jusqu’à la ville basse autour des rives de l’Eure, soixante hectares de ruelles et rues pavées, d’escaliers, de tertres et de portes, de maisons à colombages, de demeures au décor sculpté en pierre, de ponts et de lavoirs vous invitent à flâner.

La cathédrale de Chartres. Haut lieu spirituel et artistique, la cathédrale de Chartres inspire depuis des siècles la ferveur des pèlerins et des visiteurs. Depuis le XIIe siècle, la cathédrale a reçu des millions de visiteurs. Considérée comme le modèle des grandes cathédrales gothiques. Triple joyau d’architecture, de vitrail et de sculpture, la cathédrale de Chartres figure parmi les cathédrales gothiques les mieux conservées de France. Son architecture est fascinante : une véritable dentelle de pierre où se croisent arcs-boutants, flèches des tours, pinacles, gargouilles, roses et rosaces. Une architecture de la lumière où les baies s’étirent en hauteur pour laisser place aux vitraux en parfait état de conservation qui concourent à la beauté et au prestige du lieu.

CHATEAU DE MAINTENON. Son histoire remonte au Moyen Age, comme en témoigne sa tour carrée du XIIème siècle. Parmi ses propriétaires, figure Françoise d'Aubigné, future marquise de Maintenon, qui a acheté le domaine en 1674. Elle a agrandi et embelli le château, avant de devenir en 1684, l'épouse secrète de Louis XIV. Le Nôtre a dessiné le parc et creusé le grand canal qui passe sous l'aqueduc construit par Vauban et La Hire. Cet édifice inachevé devait amener les eaux de l'Eure à Versailles.
 

Lien vers le site de l'Office de Tourisme de Chartres
 

Lien Wikipédia - Château de Maintenon

 
A sept kilomètres de Paris, dans la Vallée aux Loups, ce magnifique Musée du Bonsaï ouvre ses portes à tous les amateurs.

Ce Musée, unique en France, installé dans un parc à la japonaise sur près de 1 000 m² expose en permanence environ 9 000 bonsaï âgés de 6 ans à plus de 300 ans, exceptionnels par leur âge, leur variété, leur floraison ou leur silhouette.

Contemplation, origine, histoire et culture du Bonsaï.

Bonsaï. Cet art à la consonance asiatique vient de Chine avant de passer par le Japon.

L'origine de la culture d'arbres miniaturisés et cultivés en pot remonte au III^ème siècle dans l'Empire du milieu, ils étaient alors appelés "P'en-tsai". On raconte qu'un vieux sage chinois se rendant à un temple en montagne trouva sur son chemin un arbre rabougri, à la silhouette élégante. Délicatement, il retira l'arbre de l'anfractuosité de la roche où il poussait et le transporta soigneusement jusqu'au temple pour l'offrir à Bouddha, après l'avoir mis en pot. Plus tard, sous la dynastie des Song, des annales font référence à un sage qui savait créer dans un seul pot et donc, dans un petit espace, une impression d'immensité.

D'abord consacrés aux dieux, les arbres étaient récoltés dans la nature et mis dans des poteries décorées de délicats motifs dans des matières nobles : porcelaine fine ou marbre. Chaque cour des hommes, dans la propriété des Mandarins, possédait son ou ses Bonsaï, souvent en signe de bienvenue et de protection. L'image du Bonsaï a été véhiculée au travers de l'Asie, de la Thaïlande aux Indes, de l'lndochine au Japon. Si les Chinois ont inventé le Bonsaï, les Japonais ont créé l'archétype de l'arbre.

Après une période d'abandon pendant la révolution culturelle, l'art du Bonsaï a aujourd'hui repris sa place en Chine. Des communes populaires comme des agriculteurs privés développent la culture des Bonsaï et il n'est pas rare d'en apercevoir dans les rues, devant des habitations ou sur des étals. Des parcs leurs sont mêmes consacrés.
 

Lien vers le Musée du Bonsaï